ET CA CONTINUE ! - LA CRISE A BON DOS !!!! OU SONT PASSE LES 6 , 5 MILLIARDS d’EUROS DE C.A. DES NOTAIRES EN 2008 ( chiffres Le Figaro et Conseil du notariat)?
POURQUOI NE PAS COMMENCER PAR RÉDUIRE LES 220.000 EUROS NETS DE SALAIRE MOYEN (chiffres "Journal du net" et "Challenges") DES PATRONS DU NOTARIAT QUAND LE SALARIE EN GAGNE EN MOYENNE ET AU MIEUX 17.500 NETS?
Bien sur tous les notaires ne gagne pas cela c’est une moyenne. Mais pourquoi les patrons plus riches ne font ils pas une caisse de solidarité pour les plus pauvres jusqu’à ce que ça aille mieux? Pourquoi ce seraient aux salariés de payer?
MORALITÉ? IL FAUT S’ORGANISER. LA OU LE PERSONNEL SE SYNDIQUE IL N’ Y A PAS DE RESTRUCTURATION "SAUVAGE" NI DE LICENCIEMENT.... Buzz
Personne n’a mis la clef sous la porte. Mais certains notaires et les 19 agences immobilières dinannaises réduisent le nombre de leurs salariés.
Enquête
L’étude notariale de maîtres le Voyer Villin licencie deux personnes. Elle n’est pas la seule. Selon nos sources l’étude de Plélan-le-Petit et celle de Plouër-sur-Rance se sont également séparées d’une partie de leur personnel. C’est une conséquence directe de la baisse d’activité du secteur de l’immobilier. Selon le conseil régional des notaires la baisse d’actes de ventes et d’achats a été très nette à partir de septembre 2008.
Ce sont surtout les études travaillant avec des promoteurs immobiliers qui souffrent. Elles ont dû embaucher pour faire face à un surcroît d’activité lié à la vente de lots d’appartements ou de pavillons neufs. Quand ces promoteurs se retirent du jeu le coup d’arrêt est brutal. Avec une quinzaine d’études sur la circonscription de Dinan, les notaires emploient 84 salariés, selon les chiffres du conseil régional des notaires.
« L’étude est très calme, rapporte maître le Voyer, notaire à Dinan. Nous avons de plus en plus de biens à vendre et de moins en moins d’acquéreurs. La vague des acheteurs anglais s’est retirée. Ce ralentissement est d’autant plus soudain qu’il arrive après des années de forte expansion. » En effet selon la chambre départementale des notaires, les prix des maisons anciennes à Dinan ont fait un bon de 20 % entre décembre 2007 et septembre 2008 ! De loin la plus forte croissance des villes moyennes bretonne. « Il faut dire que Dinan avait des prix assez bas, elle a rattrapé son retard sur Saint-Malo », explique maître Le Voyer.
Agences : un quartde salariés en moins
Du côté des agences dinannaises on reconnaît « s’adapter également au marché ». Les professionnels de l’immobilier sont habitués « aux fluctuations qui font évoluer naturellement le nombre de salariés denos agences ». Encore faut-il distinguer la grosse agence qui emploie une dizaine de personnes et la toute petite, tenue uniquement par son gérant.
En clair, « une partie du salaire des négociateurs des agences est assurée par un pourcentage sur les ventes qu’ils réalisent ». Et quand l’immobilier est en crise, certains vendeurs choisissent d’eux-mêmes de quitter ce secteur.
Un chiffre ? Certaines agences avancent une baisse de 25 % du nombre de salariés dans le secteur de l’immobilier. « Une baisse qui a déjà été anticipée l’an passé. » La crise actuelle n’a cependant pas amené d’agences à mettre à clé sous la porte. Pour le moment, les 19 agences dinannaises tiennent le coup. Elles font travailler environ 70 salariés. « Il n’y a pas encore eu d’agences qui ferment. Cen’est pas le cas à Saint-Brieuc ou Saint-Malo. Il faut bien savoir que l’immobilier, c’est un marché à risques. »
Comment le secteur s’est-il adapté ? « En se tournant vers d’autres marchés, la location ou la cession de fonds de commerces par exemple. » Il faut réussir à tenir dans la bourrasque en attendant les jours meilleurs.
Ouest-France
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